La mort de Ben Laden aura été l’événement à la une de l’actualité depuis l’annonce faite par Barack Obama. Traqué depuis plus de 10 ans dans plusieurs pays, Ben Laden a finalement été tué par un commando des forces spéciales américaines dans une ville du Pakistan après une opération menée dans le plus grand secret. La mort de Ben Laden ne cesse de faire parler car elle soulève beaucoup d’interrogations. Comment a-t-il pu vivre tant d’années dans cette maison sans être découvert? Quel est l’avenir d’Al-Qaida? Si les réponses sont pour le moment difficiles à connaître, l’immersion fait toujours débat. Et il n’aura pas fallu attendre bien longtemps pour que la publicité reprenne le thème. En effet, en moins d’une semaine, une publicité a fait son apparition aux Etats-Unis. Il s’agit d’une pub pour la sécurité routière, pour rappeler la nécessité de boucler sa ceinture au volant. Et histoire de faire passer le message, vous allez voir que la mort de Ben Laden est exploitée… Regardez et n’hésitez-pas à nous laisser vos commentaires!
Immersion du corps de Ben Laden : l’explication par Nouvelobs
Excellente initiative ! Dommage qu’elle ne soit médiatisée que maintenant. Cela fait des années que les sites étrangers comme Buzzle ou français comme Qu’est-ce que c’est ? (www.questcequecest.com) expliquent les risquent de la conduite sur route.
Trop peu d’usagers de la route sont sensibilisés à l’utilisation d’un téléphone en conduisant pourtant, à notre connaissance, toutes les études françaises ou étrangères sur ce sujet convergent : le risque accidentogène est considérablement multiplié par l’utilisation d’un téléphone en conduisant.
En effet, même avec un kit main libre, le téléphone monopolise visiblement la plus grande partie de notre attention. Hors, une inattention de quelques secondes peut suffire à faire dévier un véhicule de sa voie.
Depuis longtemps, nous avons renoncé à décrocher le téléphone en conduisant. Pourtant, il y a 10 ans de cela, nous le faisions sans connaître les conséquences. Après avoir raccroché, c’était toujours la même interrogation : « qu’est-ce qui s’est passé sur la route pendant que je conduisais ? »