Pour son deuxième rôle sur le petit écran, Lorie Pester s’essaie à la comédie dans « Un mari de trop ». Elle incarne Stéphanie, une jeune femme empêtrée dans ses mensonges et tiraillée entre les deux hommes de sa vie. Un rôle de composition… écrit spécialement pour elle.
Comment êtes-vous arrivée sur ce projet ? De feu et de glace, mon premier téléfilm (réalisé par Joyce Buñuel), a été une expérience concluante : j’ai adoré jouer et nous avons eu la chance d’avoir le public avec nous. TF1 a donc souhaité me proposer un nouveau projet. Mon manager et Joyce ont eu ensemble l’idée de cette histoire et m’ont concocté un rôle sur mesure ! Joyce n’a finalement pas pu réaliser le film, étant occupée par la suite de Clem, mais Louis Choquette l’a parfaitement remplacée.
Qui est l’héroïne de ce téléfilm ? Stéphanie Vasseur vient d’un milieu modeste et rêve de mode depuis toujours. Elle décide de tout quitter pour tenter sa chance à Paris mais, sans diplôme ni références, elle s’invente un personnage. Un mensonge en entraînant un autre, elle construit sa carrière sur un passé inventé, quitte à se faire prendre à son propre piège…
Vous disiez vouloir jouer un personnage à l’opposé de vous, était-ce le cas ? Mon souhait a été réalisé ! Nos seuls points communs sont, peut-être, que nous sommes «culottées» et venons toutes les deux du Nord, puisque j’ai des origines picardes. Je ne me reconnais pas du tout en Stéphanie, qui est une vraie mythomane. J’ai adoré jouer le mensonge, un exercice très subtil où il ne faut pas montrer que l’on ment à la personne en face de soi, tout en avertissant le téléspectateur… C’est une question de détails.
(source : TF1 / Clémence Favier)